Le projet du nouveau collège présenté par Georges Méric

Vendredi 28 avril, Georges Méric, président du Conseil départemental, accompagné de Sandrine Duarte et Christian Sans, conseillers départementaux, s’est rendu dans le canton de Cazères à la rencontre des acteurs locaux et des habitants. Il était attendu à la mairie de L’Isle-en-Dodon pour présenter le projet du nouveau collège. Après l’accueil par le maire, François Caraoué, l’équipe s’est installée autour de la table. Quelques maires de l’ex canton de L’Isle-en-Dodon étaient présents pour assister à cette présentation.

Budget de 11 millions d’euros

C’est une satisfaction pour les élus locaux car ce projet a été en suspens durant de nombreuses années. Christiane Larrieu, ex-conseillère générale du canton, n’a pas caché sa satisfaction à voir enfin aboutir ce projet. «L’éducation est un engagement fort de l’assemblée départementale qui a adopté en janvier 2016 un plan pluriannuel d’investissements à hauteur de 100 millions d’euros. Ce plan prévoit la construction de six nouveaux collèges et la réhabilitation de quatre établissements d’ici 2021. La reconstruction du collège Léon Cazeneuve de L’Isle-en-Dodon, réalisée dans ce cadre, représente un budget de 11 millions d’euros», a souligné Georges Méric. À ses côtés, Bertrand Looses directeur général des services, a exposé les plans du projet de «ce collège extrêmement fonctionnel, très commode à vivre pour les élèves».

Une capacité de 250 élèves

Cet établissement, qui doit ouvrir à la rentrée 2020, disposera d’une capacité d’accueil de 250 élèves. Implanté sur un terrain d’environ 2 hectares, il comprendra un bâtiment d’enseignement avec demi-pension, deux logements de fonction, un plateau sportif et des parkings. Par ailleurs, ce projet adopte une démarche environnementale à travers la prise en compte d’un objectif BEPOS (Bâtiment à Energie Positive).

La mise en œuvre de ce projet sera soumise à une concertation citoyenne avec les parents d’élèves, la communauté scolaire, les élus locaux, les riverains…, conformément à la volonté du Département d’engager un dialogue citoyen avec les Haut-Garonnais. C’est un point sur lequel Christian Sans a insisté.